L’ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTOS – Alors que l’engouement des conducteurs pour les ludospaces ne se dément pas, Peugeot restylé son Rifter et remet du diesel sous le capot. Au rayon familial toujours, Renault rallonge son Captur et le rebaptise Symbioz. Caradisiac l’a testé sur 1 800 km.
Le Peugeot Rifter restylé et dieselifié
Un road trip en Symbioz
Rien ne vaut l’alignement de kilomètres pour juger des qualités et des défauts d’une auto. C’est pourquoi Cédric Pinatel et Alain Dalbera, les marathoniens de Caradisiac n’ont pas hésité à engranger 1 800 km, du sud de l’Espagne à Paris, à bord du nouveau Renault Symbioz, somme toute la version break du Captur. Leurs conclusions ; si ce énième SUV du losange fait jeu légal et logique avec le Captur sur la route, il s’en distingue par son coffre maousse et son design efficace.
Retrouvez les détails de ce road-trip en Symbioz.
Les ludospaces font-ils un retour en force ?
Vos réactions, et votre attention concernant les articles qui traitent des ludospaces, en témoignent : l’engouement pour ce genre particulier est intact, malgré la longévité de ces camionnettes particulières et l’omniprésence des SUV. Peugeot l’aurait-il compris ? Le lion vient en tout cas de profiter du restylage de son Rifter pour réinjecter du diesel sous son capot. Pour Manuel Cailliot, qui en a pris le volant, c’est une formule gagnante, et moins chère que les SUV, pour tous ceux qui souhaitent disposer d’un maximum d’espace, mais aussi d’un maximum d’autonomie.
Retrouvez tous les détails du Peugeot Rifter restylé.
Le Renault Master, bon élève européen
C’est une marque abonnée au trophée qui vient de remporter celui du van of the year 2024. En l’occurrence, c’est Renault qui s’empare de la distinction pour la cinquième fois. C’est le nouveau Master qui se voit couronner cette année par un jury européen (dont Caradisiac est membre). Les 25 journalistes ont élu le grand fourgon français en raison de son design, de son aérodynamique et de sa polyvalence.
Retrouvez en détail le classement de ce trophée.
L’électrique n’a pas dit son dernier mot
Bien sûr les ventes sont en berne depuis quelques mois. Évidemment, quelques marques font le siège de Bruxelles pour éviter le basculement total en 2035. Pourtant, Pierre-Olivier Marie en est persuadé : les ventes de voitures électriques vont décoller et ce pour plusieurs raisons. Les infrastructures de recharges sont en place, avec 147 000 bornes opérationnelles. Quant au prix élevé des modèles, il pourrait être revu à la baisse en raison des nouveaux modèles plus abordables sur le point d’être commercialisés. Restons positifs.
Retrouvez tous les arguments en faveur de l’électrique.
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