Nouvelles Renault 4, 5, Renault 17, et d’autres modèles encore, on ne compte plus les constructeurs qui font les yeux doux aux anciens modèles pour dessiner leurs nouvelles productions. Cette nostalgie est-elle une preuve d’impuissante ?
Serge Bellu, Michel Holtz, Stéphane Schlesinger, quel plus beau plateau pouvait-on imaginer pour évoquer le design ? Qui peut dire qu’une auto est belle ou non tant il vrai que c’est une question suggestive ?
//affichage du vrai player $("#JSfakePlayerx97lo8q").hide(); var $iframeSrcx97lo8q = $("#ifrmx97lo8q").attr("data-hiddensrc"); $("#ifrmx97lo8q").attr('src', $iframeSrcx97lo8q); $("#ifrmx97lo8q").show(); }
Pour autant, le débat n’est pas interdit face à la déferlante du néorétro chez Renault (Renault 4, Renault 5, Renault 17 et Twingo). Serge Bellu est sans doute le plus critique face à cette invasion. Il loue les designers des décennies précédents qui, eux ont su créer de nouveaux modèles, copiés aujourd’hui.
Autre sujet évoqué, le design des SUV, verticaux, qui singent les gratte-ciel des métropoles modernes. Michel s’emporte presque face à Stéphane qui semble, contre toute attente, apprécier ce design carré dont on rappelle qu’il représente près de 60 % des ventes.
Au-delà, on ne peut que constater que les surfaces vitrées ne cessent de se rétrécir, qu’on opacifie les vitres de nos autos, qu’on se recroqueville dans nos autos en acier, comme pour se protéger de l’extérieur. Cela exprime-t-il une peur ? Cela est-il le symbole du recroquevillement d’une population apeurée ? On peut se le demander quand on constate pr exemple qu’il n’existe pratiquement plus de cabriolets proposés aux catalogues des constructeurs. Fini la Dolce Vita. Bonjour Mad Max.
Comments