Les sportives n’ont plus le vent en poupe. Année après année, les malus rendent leur achat impossible si bien que parfois même les constructeurs les sortent de leur catalogue. Pour ceux qui aiment les sensations fortes au volant, il faut se tourner désormais vers le marché de l’occasion. Autour de la table : Julien Bertaux, Alan Froli et Cédric Pinatel.
C’est un fait. Le malus a déjà scellé le sort des petites voitures sportives telles qu’on les connaissait jusqu’à présent, à savoir des sportives thermiques. Du côté des compactes, Mégane RS, 308 GTI, il n’y en a plus en vente en neuf. Côté Clio et 208 GTI, idem, disparues.
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Autre exemple de voiture malusée : Toyota GR Yaris avec un simple trois cylindres coûte 46 000 € avec un malus de 60 000 € en boîte automatique.
Il faut donc se rendre sur le marché de l’occasion où l’on constate que les cotes des sportives grimpent. Il y a un effet d’aubaine pour deux qui n’ont acheté ces autos que pour le plaisir. En plus, ils obtiennent un possible bonus financier inattendu.
Pour avoir des sensations, reste l’électrique. Notamment l’Alpine A290 qui finalement revient moins chère à 34 000 € avec l’aide d’état.
Mais autre question débattue par Julien Bertaux, Alan Froli et Cédric Pinatel : une sportive peut-elle être une électrique.
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